Le blog de Sarah Ourahmoune, une maman, Championne du monde de boxe, working-girl, débordée...mais heureuse!
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7/3/2018

De l'héroïne dans votre assiette? Drogués au sucre?

1 Commentaire

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Accros au sucre et à la malbouffe ? Une étude américaine a démontré que l’addiction au sucre suivait le même schéma que celle aux drogues dures! Effrayant quand on sait que nous consommons près de 35 kilos de sucre par an et par personne. 
Cette étude montre que nous devenons dépendants de la malbouffe : des aliments gras et sucrés, de la même manière qu’un « juncky » avec sa dose d’héroïne. 
L’apport de nourriture est régulé par les centres de plaisir du cerveau contenant la dopamine. Cette dernière pousse à la recherche de plaisir que ce soit par la nourriture, le sexe ou la drogue. Quand on regarde des images de bons plats, de gros gâteaux au chocolat, de sandwiches et de frites, notre cerveau sécrète de la dopamine en grosse quantité. Ces images nous font saliver. C’est le même mécanisme qui agit quand un héroïnomane voit sa drogue…
Il arrive parfois que nous devenions complètement accros aux produits sucrés. J’ai l’exemple d’un proche qui consomme quotidiennement du Coca. Impossible pour lui de s’en passer bien qu’il ait essayer à plusieurs reprises. Quand l’envie le prend, il lui faut sa bouteille. Il est près à parcourir des kilomètres en pleine nuit et de payer sa boisson le triple du prix. Il lui faut tout simplement…C’est une véritable dépendance dont il n’arrive plus à se défaire !
Le problème, c’est que les aliments sucrés, tout comme les aliments gras, sont ceux que nous préférons en général.
De plus, aujourd’hui, il y a du sucre partout : dans les conserves, la sauce tomate, le pain de mie, ect… L’industrie agroalimentaire compense la médiocrité nutritive des ingrédients utilisés en les enrichissant en sucre (et en sel). Cela nous amène à en consommer toujours plus et à développer notre besoin et notre attirance pour les saveurs sucrées.
D’ailleurs, dans cette étude américaine, il est démontré que les rats devenaient eux-aussi accros au sucre. Ils le préféraient à la cocaïne, lorsqu’ils avaient le choix entre les deux substances.
Finalement, ce constat n’étonnera pas ceux qui ont l’habitude de finir la tablette de chocolat entamée ou le paquet de gâteau alors qu’ils étaient partis pour n’en manger que deux. 
Mon expérience :
Pour être honnête, je suis une grande gourmande et cette étude m’a vraiment questionnée. J’ai voulu tester si je faisais partie des personnes dépendantes aux mets sucrés.
J’ai donc profité des dix jours de stage en Equipe de France pour contrôler ma consommation. Plus de biscuits, de jus industriels et autres plaisirs sucrés…Au petit déjeuner je mangeais des flocons d’avoine. Bon, je vous l’accorde, il faut aimer ça. Mais avec le temps, on apprend à les aimer avaler et ils passent mieux avec quelques fruits secs.
Le résultat a été concluant. Je ne suis pas accro ou du moins, j’arrive à contrôler ma consommation. Je n’ai pas ressenti de manque bien que l’envie de croquer dans une bonne viennoiserie le matin m’a démangé. Je me suis sentie en bien meilleure forme, sans parler des effets positifs sur mon teint et mon poids.
Il ne s’agit pas de bannir le sucre. En tant que sportive, je sais bien qu’il m’est indispensable. L’idée est plutôt de réduire sa consommation et de bouger davantage.
Que pensez-vous de cette étude ? Honnêtement, pensez-vous contrôler votre consommation en sucre ou laissez-vous parler vos envies sans aucune maîtrise ?

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1 Commentaire
Fiso link
4/25/2020 09:31:57

Bonjour Sarah,
Je ne suis pas surprise de cette étude.
Comme vous, j'ai eu l'occasion de tester ma dépendance au sucre en suivant le jeûne du Carême (depuis 2015) de façon très stricte : 40 jours de jeûne intermittent quotidien de 24h et suppression totale de la viande et toutes les graisses animales (oeufs, produits laitiers), sucre et excitants (café, thé, alccol). Ce jeûne a surtout révélé une dépendance au café (tête un peu lourde les 2 premiers jours) mais pour le sucre, ça va !
Cette expérience a été une telle révélation (énergie décuplée, bien-être général, effets physiques) que j'ai adopté le jeûne intermittent le reste de l'année.
Cuisinant déjà beaucoup, je me suis intéressée à remplacer autant que possible le sucre, la farine de blé et le beurre dans mes recettes (quand c'est bon car la gourmandise d'abord ! 😉).
J'ai d'ailleurs une super recette de brioche vegan à l'huile d'olive !
PS: J'en profite pour vous signaler que le lien vers votre article « remplacer le sucre» est HS 😉

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